J'ai tenté de peindre le vieil Albert avec le fol espoir que cet exercice me permette d'être plus intelligent, plus sage. J'ai beau m'être appliqué à rendre la tristesse de son regard et la vigueur de son poil, je ne crois pas que mon Q.I. s'en soit trouvé amélioré ni même que ma moustache ait épaissi.
Dommage.
D'un autre coté, c'est rassurant. Je peux dorénavant tenter le portrait d'une nymphette de la télé réalité sans risquer l'hypertrophie mammaire ou la vacuité cérébrale.